Voltaire et Dieu, l’horloger…
En contemplant la beauté de la création de l’univers, certains grands penseurs en étaient émerveilles. C’est Voltaire qui disait :
« Je ne puis songer que cette horloge existe et n’ait point d’horloger. Je méditais cette nuit. J’étais absorbé dans la contemplation de la nature. J’admirais l’immensité, le cours, les rapports de ces globes infinis que le vulgaire ne sait pas admirer. J’admirais encore plus l’intelligence qui préside à ces vastes ressorts. Je me disais : Il faut être aveugle pour n’être pas ébloui de ce spectacle, il faut être stupide pour n’en pas reconnaître l’auteur. Il faut être fou pour ne pas l’adorer. »
– D’après Religion dans le dictionnaire philosophique –
Il reprend les mêmes arguments en 1775 dans son « Histoire de Jenni ou l’athée et le sage » :
« Pour savoir si il y a un Dieu, je vous demande une seule chose, c’est d’ouvrir les yeux… Songez comment ces globes immenses… observent les lois d’une profonde mathématique. Portez vos yeux sur vous mêmes ; Examinez avec quel art étonnant, tout y est construit en dedans et en dehors… depuis la racine des cheveux, jusqu’aux orteils des pieds, tout est art. »
Le Psaume 33.6 résume ce qu’a constaté Voltaire : « Les cieux ont été faits par la parole de l’Éternel ».
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